On dirait nous

Lorsque j’ai entendu à la radio, pour la première fois, la publicité faite autour du dernier roman de Didier van Cauwelaert, l’histoire m’a immédiatement interpellée. Il suffit parfois de quelques mots pour être happée comme une guêpe par un fruit gorgé de soleil. Je me suis promis de l’acheter et de le lire pendant l’été mais la naissance de Taïssia a bouleversé mes priorités.

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De retour à la maison, je suis tombée par hasard ( mais est-ce vraiment le hasard ? ) sur la page littéraire d’un magazine féminin qui présentait ce roman « On dirait nous ».

Poussée par la curiosité et avide d’en apprendre un peu plus, j’ai parcouru l’article qui présentait ce livre comme une fable actuelle où se mêle le rire et la tendresse.

Le plus surprenant est que l’un des personnages est atteint de la maladie de Charcot. Avec sa femme Ilan, il fait une proposition étrange à un jeune couple rencontré au parc.

L’intrigue part de cette rencontre et de cette phrase « On dirait nous ». L’auteur nous entraîne dans une merveilleuse histoire d'amour et de fantaisie, où il est aussi question du désir d'éternité.

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Je me dis parfois que la Vie sème sur ma route des petits cailloux pour me montrer le chemin. Ce livre en est peut-être un. J’ai hâte de m’y plonger pour en découvrir le sens.

Ce n’est pas la première fois que je perçois ce qui est imperceptible. Alors que je venais d’apprendre que J.Mi était atteint de la maladie de Charcot, j’avais déniché dans ma bibliothèque un livre oublié depuis des années. L’héroïne de « On ne compte pas les heures » était atteinte de cette même maladie. Au fil des pages, j’ai lu ce qui allait être notre avenir… étrange non ???