BETE à chagrin... ou nouvelle THERAPIE ? *
Quand les enfants étaient petits, ils nous ont réclamé à cor et à cri un ANIMAL. Un chat, un chien, un poisson rouge, une souris… on a du passer en revue toute l’arche de Noé, sans céder à leur chantage affectif, jusqu’à ce dimanche de juin 1998 !!!
Nous étions invités à déjeuner chez un ami dont la minette, alors très âgée, venait d’avoir, pour la première fois de sa vie, trois adorables chatons. Parfois, les caprices de la nature font qu’elle ignore ses propres lois !!! En tout cas, partis à trois … nous sommes revenus à quatre. Notre benjamin avait craqué devant cette minuscule boule de poils… et nous aussi, il faut bien l’avouer. L’adaptation à sa nouvelle famille s’est faite sans problème : nous l’avions pourtant arraché à sa maman alors qu’il avait tout juste 5 semaines. Prénommé Melchior et rebaptisé Minou ( pas très original, je vous l’accorde ! ), il nous a accompagnés pendant plus de 11 ans.
Un soir de l’été 2009, il a mystérieusement disparu. Nous l’avons cherché partout… en vain. Nous nous sommes alors promis de ne plus avoir d’animal de compagnie. « Ce sont des bêtes à chagrin », disait toujours ma grand-mère avec son bon sens populaire. C’était décidé : « nous n’aurons pas d’autre ! »
A suivre ...